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Osedea dans les nouvelles

On parle de nous dans Le Parisien & Aujourd'hui en France

Arthur Lopez
07 mars 2023 ∙ 3 mins
Article dans Aujourd'hui en France

Samedi 18 février 2023, le groupe Le Parisien et Aujourd'hui en France s'est intéressé à notre entreprise Osedea et à sa culture d'entreprise propre et attractive. Voici l'article en son intégralité :

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Cette entreprise offre à ses salariés 5 000 € et deux semaines de congés

Récemment installée à Toulouse, la société Osedea privilégie l’épanouissement de ses employés. Un moyen de les fidéliser dans un secteur concurrentiel, celui de l’intelligence artificielle.

CASSER LES CODES de l’entreprise traditionnelle pour mieux équilibrer vie professionnelle et personnelle. C’est l’objectif de l’entreprise canadienne Osedea, spécialisée dans l’intelligence artificielle et les logiciels sur mesure depuis onze ans, qui a installé un bureau à Toulouse (Haute-Garonne) en novembre. Pour conserver ses salariés dans ce secteur très concurrentiel, cette société, qui compte aussi un bureau à Nantes (Loire-Atlantique) réunissant quinze employés, leur offre des avantages inattendus, adaptés aux nouvelles habitudes de travail.

Ici, la flexibilité est le maître mot : tant que les résultats sont atteints, chaque salarié peut organiser son temps de travail comme il le souhaite. «Il peut-être à 100% en télétravail si c’est ce qu’il souhaite puisque les nouvelles technologies permettent cela, souligne Arthur Lopez, le responsable du bureau toulousain, revenu dans la Ville rose après cinq ans à Montréal. Les personnes sont souvent étonnées par notre politique d’entreprise mais, en ouvrant des bureaux en France, nous voulions exporter ce modèle avec l’ambition d’offrir le plus de liberté à nos salariés, tout en leur faisant confiance On essaye de mettre les salariés dans les meilleures dispositions et avec le moins de stress possible pour obtenir une meilleure productivité. »

Une dizaine de recrutements à venir
La flexibilité des horaires est aussi de mise. Ici, chacun choisit son rythme. Un salarié peut ainsi commencer plus tard le matin et finir plus tard le soir, selon ses contraintes personnelles.

En pleine croissance et avec pour objectif de recruter une dizaine de personnes d’ici à la fin de l’année, notamment des designers, des développeurs Web et des gestionnaires de projets, la société toulousaine se démarque de ses concurrents en privilégiant l’épanouissement du personnel ainsi que sa fidélité. Ainsi, dans un secteur où le turn-over est de trois à cinq ans, elle récompense ses employés au bout de deux ans, avec la possibilité de réaliser leur rêve en bénéficiant d’une prime de 5 000 € et de deux semaines de congés offertes.

« Quand on est étudiant, on a le temps de voyager mais pas l’argent pour le faire, et ensuite, quand on est salarié, on a l’argent mais plus le temps de voyager, détaille Arthur Lopez. Pour garder nos meilleurs talents, nous leur proposons donc de les aider pour accomplir un voyage dont ils rêvent ou des travaux dans leur maison, tout projet qui les rend heureux. » Soucieux de l’importance de la vie de famille, Osedea permet aussi à ses salariés d’étendre leur congé parental en cas de naissance d’un enfant, en les payant à 100 % trois mois de plus que la période habituelle.

Jusqu’à 15 000 € pour une FIV ou une adoption

Sensible à la question LGBT, importante à Montréal, et au fait d’avoir des enfants après la trentaine, elle aide également financièrement les couples à fonder une famille, en remboursant jusqu’à 15 000 €, comme une mutuelle, les frais liés à la prise en charge d’une FIV (fécondation in vitro), d’une PMA (procréation médicale- ment assistée) ou d’une adoption.

En plein débat national sur la réforme des retraites, cette entreprise qui a exporté les méthodes canadiennes fait figure d’ovni. « On veut évangéliser ce modèle d’entreprise hybride car la pénibilité au travail touche plein de domaines, assure Arthur Lopez. Nous encourageons nos salariés à venir au bureau, à avoir des contacts avec leurs collègues pour souder la culture de l’entre- prise mais il faut aussi avoir cette réflexion sur plus de liberté et de flexibilité. »

Julie Rimbert - Correspondante à Toulouse (Haute-Garonne)